À la mère de l'enfant mort

Oh ! vous aurez trop dit au pauvre petit ange 
Qu’il est d’autres anges là-haut, 
Que rien ne souffre au ciel, que jamais rien n’y change, 
Qu’il est doux d’y rentrer bientôt ; 

Que le ciel est un dôme aux merveilleux pilastres, 
Une tente aux riches couleurs, 
Un jardin bleu rempli de lis qui sont des astres, 
Et d’étoiles qui sont des fleurs ; 

Que c’est un lieu joyeux plus qu’on ne saurait dire, 
Où toujours, se laissant charmer, 
On a les chérubins pour jouer et pour rire, 
Et le bon Dieu pour nous aimer ; 

Qu’il est doux d’être un coeur qui brûle comme un cierge, 
Et de vivre, en toute saison, 
Près de l’enfant Jésus et de la sainte Vierge 
Dans une si belle maison ! 

Et puis vous n’aurez pas assez dit, pauvre mère, 
A ce fils si frêle et si doux, 
Que vous étiez à lui dans cette vie amère, 
Mais aussi qu’il était à vous ; 

Que, tant qu’on est petit, la mère sur nous veille, 
Mais que plus tard on la défend ; 
Et qu’elle aura besoin, quand elle sera vieille, 
D’un homme qui soit son enfant ; 

Vous n’aurez point assez dit à cette jeune âme 
Que Dieu veut qu’on reste ici-bas, 
La femme guidant l’homme et l’homme aidant la femme, 
Pour les douleurs et les combats ; 

Si bien qu’un jour, ô deuil ! irréparable perte ! 
Le doux être s’en est allé !… – 
Hélas ! vous avez donc laissé la cage ouverte, 
Que votre oiseau s’est envolé !

 

Victor Hugo

Cartes de Condoléances

Le temps ne guérit pas toujours la douleur, mais il t’apprend parfois à vivre avec.
Le temps ne guérit pas toujours la douleur, mais il t'apprend parfois à vivre avec. Utiliser ce modèle de carte
La vie est éphémère, mais le souvenir d'un être cher reste.
On est seul ici, et ta lumière me manque.
Je ne cacherai pas ma souffrance, tout comme je ne cachais pas mon amour.
Tout disparaît en un clin d’oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
Tout disparaît en un clin d'oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
Mon coeur souffre avec toi. Je suis là si tu as besoin de moi.
Toute ma vie je me souviendrai de sa gentillesse. Je suis de tout coeur avec vous.
L'amour est la seule chose qu'on emporte dans l'éternité
L’amour est la seule chose qu’on emporte dans l’éternité (Antonine Maillet)
Le problème, c'est que vous pensez avoir le temps.
Le problème, c'est que vous pensez avoir le temps.
Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l'appelle renaissance.
Je suis de tout coeur avec vous, mes sincères condoléances.
L'amour ne disparaît jamais... la mort n'est rien. (Saint Augustin)

Condoléances: Articles

Le fait de présenter ses condoléances avec des fleurs est une tradition issue de la famille romaine. Du fait de
Présenter ses condoléances ne se limite pas seulement à un petit message que l'on écrit sur une carte ou un
Après les funérailles, dernier moment de communion et de rassemblement autour du défunt, le calme et la solitude s’installent. C’est
On a longtemps pensé que les hommes faisaient leur deuil plus rapidement que les femmes, et que les veufs, notamment,

Condoléances: Messages

Je ne peux pas imaginer à quel point ce que vous vivez en ce moment est difficile, je sais juste
Il faut avoir vécu cette terrible épreuve pour comprendre l'intensité de votre douleur. En vous assurant de notre affection, nous
Le deuil inattendu qui vous frappe m’émeut profondément. Je voudrais pouvoir prendre une grande part à votre souffrance et alléger,
En ces moments si tristes, je tenais à vous témoigner mon affection. Puissiez-vous être réconforté par tout l'amour qui vous

Condoléances: Citations

 Le sage fait son deuil de sa mort. 
Celui qui ne peut plus éprouver ni étonnement ni surprise est pour ainsi dire mort : ses yeux sont éteints.
 La mort ? La fin au goût âcre des rêves de l'homme. 
 Mourir, c'est la dernière chose à faire.  

Condoléances: Poèmes

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,  Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.  J'irai par la
Toi qui m'entends sans peur te parler de la mort, Parce que ton espoir te promet qu'elle endort Et que le court
Un pauvre Bûcheron, tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé,
Je suis debout au bord de la plage ;Un voilier passe dans la brise du matinet part vers l'océan.Il est