Coquetterie posthume

Quand je mourrai, que l’on me mette, 
Avant de clouer mon cercueil, 
Un peu de rouge à la pommette, 
Un peu de noir au bord de l’oeil.

Car je veux dans ma bière close, 
Comme le soir de son aveu, 
Rester éternellement rose 
Avec du kh’ol sous mon oeil bleu.

Pas de suaire en toile fine, 
Mais drapez-moi dans les plis blancs 
De ma robe de mousseline, 
De ma robe à treize volants.

C’est ma parure préférée ; 
Je la portais quand je lui plus. 
Son premier regard l’a sacrée, 
Et depuis je ne la mis plus.

Posez-moi, sans jaune immortelle, 
Sans coussin de larmes brodé, 
Sur mon oreiller de dentelle 
De ma chevelure inondé.

Cet oreiller, dans les nuits folles, 
A vu dormir nos fronts unis, 
Et sous le drap noir des gondoles 
Compté nos baisers infinis.

Entre mes mains de cire pâle, 
Que la prière réunit, 
Tournez ce chapelet d’opale, 
Par le pape à Rome bénit :

Je l’égrènerai dans la couche 
D’où nul encor ne s’est levé ; 
Sa bouche en a dit sur ma bouche 
Chaque Pater et chaque Ave.

 

Théophile Gauthier

Cartes de Condoléances

Nous comprenons la mort uniquement après qu’elle ait mis les mains sur une personne que nous aimons
Nous comprenons la mort uniquement après qu'elle ait mis les mains sur une personne que nous aimons. (Anne L. de
On n'oublie jamais une personne, on s'habitue seulement à son absence.
On est seul ici, et ta lumière me manque.
Toute ma vie je me souviendrai de sa gentillesse. Je suis de tout coeur avec vous.
Je ne cacherai pas ma souffrance, tout comme je ne cachais pas mon amour.
Tout disparaît en un clin d’oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
Tout disparaît en un clin d'oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
Je suis de tout coeur avec toi en ces moments difficiles.
L'amour ne disparaît jamais... la mort n'est rien. (Saint Augustin)
Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c'est la présence des absents, dans la mémoire des
Nous partageons votre douleur. Toutes nos condoléances.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
Ceux que nous avons tant aimés ne peuvent jamais tout à fait disparaître
Ceux que nous avons tant aimés ne peuvent jamais tout à fait disparaître.

Condoléances: Articles

Lorsque vous envoyez des fleurs d'anniversaire, ou un bouquet romantique, le message est toujours heureux. D'un autre côté, les fleurs
Les fleurs ont toujours eu un pouvoir de réconfort immense. Elles sont le symbole même de l’espoir et peuvent transmettre
Même plusieurs années après une cérémonie funèbre, il est toujours opportun de se souvenir du décès des personnes chères. L’anniversaire
Pour une maman disparue, le choix des fleurs de deuil est une tâche exigeante. Plusieurs critères doivent être mis en

Condoléances: Messages

Nous sommes profondément émus par ce deuil qui vous frappe. Dans cette difficile épreuve, nous vous assurons de notre amitié
Le malheur qui vient de bouleverser votre famille m’a pétrifié. Sachez que je suis de tout cœur avec vous. Soyez
Ma Chère XXXX, c’est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès de XXXX. Accepte ce petit mot
Les mots ne suffisent pas pour exprimer l'immense tristesse que je ressens pour la disparition de votre (père, mère...), veuillez

Condoléances: Citations

 Y’a trois choses qu’on ne peut pas regarder en face : le soleil, la mort et le dentiste. 
Ne pouvant plus supporter l'idée de la mort, il se tue.
 C'est trop se laisser surprendre aux vaines descriptions des peintres et des poètes, que de croire la vie et la
 La mort c'est la noblesse du con. 

Condoléances: Poèmes

Un pauvre Bûcheron, tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé,
Si la vierge vers toi jette sous les ramures  Le rire par sa mère à ses lèvres appris ;  Si,
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,  Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.  J'irai par la
J'ai bien assez vécu, puisque dans mes douleurs Je marche, sans trouver de bras qui me secourent, Puisque je ris