"La mort et le bûcheron", Jean de la Fontaine.

Un pauvre Bûcheron, tout couvert de ramée,
Sous le faix du fagot aussi bien que des ans
Gémissant et courbé, marchait à pas pesants,
Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée.
Enfin, n’en pouvant plus d’effort et de douleur,
Il met bas son fagot, il songe à son malheur.
Quel plaisir a-t-il eu depuis qu’il est au monde ?
En est-il un plus pauvre en la machine ronde ?
Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts,
Le créancier, et la corvée
Lui font d’un malheureux la peinture achevée.
Il appelle la Mort. Elle vient sans tarder,
Lui demande ce qu’il faut faire
« C’est, dit-il, afin de m’aider
À recharger ce bois ; tu ne tarderas guère. »
Le trépas vient tout guérir ;
Mais ne bougeons d’où nous sommes:
Plutôt souffrir que mourir,
C’est la devise des hommes.

Cartes de Condoléances

L'amour est la seule chose qu'on emporte dans l'éternité
L’amour est la seule chose qu’on emporte dans l’éternité (Antonine Maillet)
Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera
Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera. Victor Hugo
Le problème, c'est que vous pensez avoir le temps.
Le problème, c'est que vous pensez avoir le temps.
Le souvenir, c'est la présence invisible. (V. Hugo)
L'amour ne disparaît jamais... la mort n'est rien. (Saint Augustin)
Beaucoup de bons souvenirs me reviennent alors que je pense à notre cher disparu. Que l'amour de la famille et
Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option.
Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option.
Parler de ses peines, c'est déjà se consoler
Parler de ses peines, c'est déjà se consoler (A. Camus)
On est seul ici, et ta lumière me manque.
La vie a une fin comme une lumière de bougie s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs sont à jamais
Ceux que nous avons tant aimés ne peuvent jamais tout à fait disparaître
Ceux que nous avons tant aimés ne peuvent jamais tout à fait disparaître.
Le malheur de l'avoir perdu ne doit pas nous faire oublier le bonheur de l'avoir connu.

Condoléances: Articles

Une question souvent posée par les familles et les amis est ce qu'il faut faire avec les fleurs après la
Le décès fait partie des évènements de la vie que l’on ne peut prévoir. Il arrive parfois des moments où
Rien ne vous empêche de présenter vos condoléances à votre patron
Beaucoup de personnes ont du mal à présenter leurs condoléances après un décès. Il  y a aussi d'autres qui éprouvent
Malgré l’importance que donne notre société à la valeur de l’amitié, perdre un ami est souvent considéré comme un évènement

Condoléances: Messages

S'il était des mots à prononcer pour tenter de vous consoler, nous les dirions du fond du coeur pour adoucir
Chère XXXX, c’est avec beaucoup de tristesse que je viens d'apprendre le décès de XXXX. Que te dire sinon bon
Je suis fier d'avoir connu votre (père, mère...) Il était vraiment un repère dans ma vie et il va beaucoup
Nous voulons vous dire combien nous nous sentons proches de vous au moment où la peine envahit votre coeur.

Condoléances: Citations

 L’instant qui vient peut être celui de votre mort, vous le savez et vous pouvez sourire : n’est-ce pas admirable
 Les vivants ont des cartes de visite imprimées ; les morts seuls en ont de gravées. 
 Depuis le big bang, tout commence à mourir à l'instant même de naître. L'univers n'est qu'un élan vers l'usure et
 Tout doit rentrer dans le creuset rénovateur où la mort verse continuellement de la matière pour la continuelle floraison de

Condoléances: Poèmes

De mes pensers confidente chérie, Toi, dont les chants faciles et flatteurs Viennent parfois suspendre les douleurs Dont les Amours ont parsemé ma
Je songeais, sous l'obscur de la nuit endormie, Qu'un sépulcre entr'ouvert s'apparaissait à moi. La Mort gisait dedans toute pâle
À Madame Sureau-Bellet.  I. L'hirondelle frileuse au loin s'était enfuie. Sous les dernières fleurs, les papillons mouraient. Près des étangs voilés où crépitait la
Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne,  Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ;  Je promène au