Ma Mort, d'Evariste de Parny

De mes pensers confidente chérie, 

Toi, dont les chants faciles et flatteurs 

Viennent parfois suspendre les douleurs 

Dont les Amours ont parsemé ma vie, 

Lyre fidèle, où mes doigts paresseux 

Trouvent sans art des sons mélodieux, 

Prends aujourd’hui ta voix la plus touchante, 

Et parle-moi de ma maîtresse absente.

 

Objet chéri, pourvu que dans tes bras 

De mes accords j’amuse ton oreille, 

Et qu’animé par le jus de la treille, 

En les chantant, je baise tes appas ; 

Si tes regards, dans un tendre délire, 

Sur ton ami tombent languissamment ; 

À mes accents si tu daignes sourire ; 

Si tu fais plus, et si mon humble lyre 

Sur tes genoux repose mollement ; 

Qu’importe à moi le reste de la terre ? 

Des beaux esprits qu’importe la rumeur, 

Et du public la sentence sévère ? 

Je suis amant, et ne suis point auteur. 

Je ne veux point d’une gloire pénible ; 

Trop de clarté fait peur au doux plaisir. 

Je ne suis rien, et ma muse paisible 

Brave en riant son siècle et l’avenir. 

Je n’irai pas sacrifier ma vie 

Au fol espoir de vivre après ma mort. 

Ô ma maîtresse ! un jour l’arrêt du sort 

Viendra fermer ma paupière affaiblie. 

Lorsque tes bras, entourant ton ami, 

Soulageront sa tête languissante, 

Et que ses yeux soulevés à demi 

Seront remplis d’une flamme mourante ; 

Lorsque mes doigts tâcheront d’essuyer 

Tes yeux fixés sur ma paisible couche, 

Et que mon cœur, s’échappant sur ma bouche 

De tes baisers recevra le dernier ; 

Je ne veux point qu’une pompe indiscrète 

Vienne trahir ma douce obscurité, 

Ni qu’un airain à grand bruit agité 

Annonce à tous le convoi qui s’apprête. 

Dans mon asile, heureux et méconnu, 

Indifférent au reste de la terre, 

De mes plaisirs je lui fais un mystère : 

 

Je veux mourir comme j’aurai vécu.

Cartes de Condoléances

Parfois, je n'arrive pas à croire que tu as disparu...
Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera
Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera. Victor Hugo
Beaucoup de bons souvenirs me reviennent alors que je pense à notre cher disparu. Que l'amour de la famille et
Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l'appelle renaissance.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
On est seul ici, et ta lumière me manque.
La vie est éphémère, mais le souvenir d'un être cher reste.
Il est une tristesse si profonde qu'elle ne peut pas même prendre la forme des larmes. (H. Murakami)
Je ne cacherai pas ma souffrance, tout comme je ne cachais pas mon amour.
Sans les arbres dans lesquels il joue, le vent resterait invisible. (C. Singer)
Le problème, c'est que vous pensez avoir le temps.
Le problème, c'est que vous pensez avoir le temps.
Tu étais la lumière de ma vie.

Condoléances: Articles

Quand un membre d'une famille meurt, il y a un processus en réponse à cette perte. Ce processus se produit
Attendre la vie et connaitre la mort à la place est beaucoup plus répandu que l’on ne le pense. Le
Pour une maman disparue, le choix des fleurs de deuil est une tâche exigeante. Plusieurs critères doivent être mis en
L’offrande de fleurs de deuil permet d’exprimer des émotions que les mots même ne sauraient jamais décrire avec toute la

Condoléances: Messages

Bouleversés par cet événement tragique, nous prenons part à votre douleur et vous adressons nos plus sincères condoléances. Soyez assuré
La mort ne peut jamais prendre un homme bon dans notre cœur. Il a été une source d'inspiration pour nous,
Je vous prie de bien vouloir accepter mes très vives condoléances.
S'il a quitté cette terre il ne nous quittera jamais vraiment, car il est toujours vivant dans nos cœurs et

Condoléances: Citations

 La vie est un éclair mais la mort est sans fin. 
 La mort, c'est juste un peu de vie qui bascule, tout-à-coup. 
 L'espoir est l'envers de la mort. 
 On finirait par devenir fou, ou par mourir, si on ne pouvait pas pleurer.  

Condoléances: Poèmes

Voici la mort du ciel en l'effort douloureux Qui lui noircit la bouche et fait saigner les yeux. Le ciel
Mère, quel doux chant me réveille ? Minuit ! c'est l'heure où l'on sommeille. Qui peut, pour moi, venir si tard Veiller et
Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre
Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit: «Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans