Paysage de nuit, d'André Lemoyne

À Jules Berge.

 

 

C’est un dimanche soir. — Un large clair de lune 

Étale son argent sur la grève et la dune.

 

La mer baisse… On entend comme un orgue lointain 

Dans la rumeur du flot qui jamais ne s’éteint.

 

Sous le rayonnement de cette nuit paisible 

L’œil perçoit jusqu’aux bords de l’horizon visible :

 

Les vieux ormes tordus, les saules sur deux rangs, 

Qui des ruisseaux marins contemplent les courants.

 

Ni barques, ni pêcheurs sur les eaux de la Manche, 

Car tous les gens de mer honorent le dimanche.

 

Dans le marais voisin encor mal endormi, 

Un ruminant couché rouvre l’œil à demi.

 

Il a cru voir le jour… La tête se relève, 

Puis tombe… il se rendort en poursuivant son rêve.

 

Sur la grève apparaît nettement de profil 

Un personnage errant… tout seul… Où donc va-t-il ?

 

On reconnaît de loin le brave petit homme 

Qu’entre les vieux pêcheurs de la côte on renomme.

 

Où va-t-il à cette heure en vareuse et suroît, 

Par le plus court chemin de la grève, tout droit ?

 

Sa femme au champ des morts tranquillement repose 

À l’ombre de l’église… il s’y rend à nuit close,

 

Et c’est là qu’il s’arrête et vient s’agenouiller 

 

En espérant bientôt près d’elle sommeiller.

Cartes de Condoléances

Tout disparaît en un clin d’oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
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Un pauvre Bûcheron, tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé,
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