5 conseils pour présenter ses condoléances en ligne

A l’heure où les emails, SMS, blogs et réseaux sociaux sont devenus des moyens d’expression comme les autres, le deuil se vit aussi en ligne, comme en témoigne la popularité des mémoriaux virtuels. 

Ainsi, aujourd’hui, présenter ses condoléances en ligne  n’est plus considéré comme distant, froid ou irrespectueux. Pour bien s’y prendre, il faut respecter la « netiquette » des condoléances : si vous ne savez pas comment faire, suivez les cinq conseils ci-dessous. 

 

  1. Ne vous posez pas trop de questions. On se demande parfois à partir de quel degré d’intimité on peut exprimer ses condoléances à une famille endeuillée, ou rendre hommage à un ami virtuel sur les mémoriaux virtuels et réseaux sociaux. Aujourd’hui, cette pratique est devenue tout à fait acceptable, à condition bien entendu d’adopter le même respect que lorsque l’on présente ses condoléances dans la « vraie vie ». 
  2. N’utilisez pas les réseaux sociaux pour diffuser des informations privées. Par exemple, n’annoncez pas la mort d’un ami ou d’une connaissance si ses proches ne l’ont pas encore fait : ce n’est pas à vous de prendre cette décision. La famille préfèrera le faire à son rythme et à sa façon, ou bien ne pas le faire du tout. Rendre public un décès génère en effet toutes sortes de questions qu’il faut être prêt à affronter, et parfois aussi des critiques et des commentaires désagréables qui peuvent renforcer la douleur et le sentiment de culpabilité des proches. 
  3. Restez sobre. Sur le web, les amitiés et les relations sont souvent assez superficielles, ce qui ne signifie pas qu’un décès ne puisse pas profondément choquer et émouvoir. Même si c’est votre cas, n’en faites pas trop : évitez les effusions d’émotion et ne faites surtout pas semblant d’avoir été proche de la personne. Mieux vaut raconter une anecdote  ou un souvenir sur le défunt que de tirer le tapis à soi par un débordement de chagrin qui sonnera faux et étonnera les proches. 
  4. N’en profitez pas pour vous mettre en valeur.  Les décès de personnalités, les faits divers, attentats ou catastrophes naturelles provoquent souvent des élans de solidarité sur les réseaux sociaux, ce qui se traduit par des avalanches de commentaires, de hashtags et de photos de profil temporairement modifiées pour rendre hommage aux défunts. Il est tout à fait possible de participer au mouvement, à condition de ne pas essayer d’en profiter pour exprimer vos opinions religieuses, politiques ou autres. 
  5. Si vous avez la possibilité d’exprimer votre deuil ailleurs que sur le web, faites-le. Téléphonez, écrivez une lettre, proposez de l’aide et rendez visite aux personnes endeuillées : rendre hommage au défunt sur la toile ne remplacera pas ces petits gestes et mots qui peuvent faire tant de bien lorsqu’on est en proie aux affres du deuil.  Si vous n’étiez pas très proche de la personne décédée, vous pouvez tout à fait écrire en message sur un mémorial en ligne, ou envoyer un email à ses proches.

Cartes de Condoléances

Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour
Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour.
On est seul ici, et ta lumière me manque.
Quand quelqu'un qu'on aime devient un souvenir, le souvenir devient un trésor.
Après tout ce temps ... Tu me manques encore chaque jour.
Beaucoup de bons souvenirs me reviennent alors que je pense à notre cher disparu. Que l'amour de la famille et
Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis (Victor Hugo)
La vie a une fin comme une lumière de bougie s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs sont à jamais
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
Nous partageons votre douleur. Toutes nos condoléances.
Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera
Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera. Victor Hugo
Une partie de moi disparue à jamais, une partie de toi pour toujours en moi.
Nous comprenons la mort uniquement après qu’elle ait mis les mains sur une personne que nous aimons
Nous comprenons la mort uniquement après qu'elle ait mis les mains sur une personne que nous aimons. (Anne L. de

Condoléances: Articles

De tout temps, les fleurs sont utilisées pour exprimer des sentiments. Durant les obsèques, elles peuvent apporter un certain réconfort
Attendre la vie et connaitre la mort à la place est beaucoup plus répandu que l’on ne le pense. Le
Quand on apprend la disparition de quelqu'un, membre de la famille, ami, ou simple connaissance, il est d'usage d'envoyer immédiatement
Le fait de présenter ses condoléances avec des fleurs est une tradition issue de la famille romaine. Du fait de

Condoléances: Messages

Les mots ne suffisent pas pour exprimer l'immense tristesse que je ressens pour la disparition de votre (père, mère...), veuillez
Ma Chère XXXX, c’est avec une immense tristesse que j'ai appris le décès de XXXX. Nous savons tous que la
La mort ne peut jamais prendre un homme bon dans notre cœur. Il a été une source d'inspiration pour nous,
C'est avec une grande tristesse que j'ai appris le décès soudain de (nom de la personne). En ces moments difficiles

Condoléances: Citations

 Une belle vie fait mépriser la mort, et une belle mort fait mépriser la vie. 
 On peut dire tout ce qu'on voudra sur la vieillesse. Ca vaut mieux que d'être mort. 
 Le programme génétique prescrit la mort de l'individu, dès la fécondation de l'ovule. 
 La connaissance du moment de la mort occasionnerait probablement une meilleure connaissance du moment de la vie... 

Condoléances: Poèmes

Mère, quel doux chant me réveille ? Minuit ! c'est l'heure où l'on sommeille. Qui peut, pour moi, venir si tard Veiller et
À Madame Sureau-Bellet.  I. L'hirondelle frileuse au loin s'était enfuie. Sous les dernières fleurs, les papillons mouraient. Près des étangs voilés où crépitait la
Quand je mourrai, que l'on me mette,  Avant de clouer mon cercueil,  Un peu de rouge à la pommette,  Un
Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne,  Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ;  Je promène au