Le volubilis, de René-François Sully Prudhomme

Toi qui m’entends sans peur te parler de la mort, 

Parce que ton espoir te promet qu’elle endort 

Et que le court sommeil commencé dans son ombre 

S’achève au clair pays des étoiles sans nombre, 

Reçois mon dernier vœu pour le jour où j’irai 

Tenter seul, avant toi, si ton espoir dit vrai.

 

Ne cultive au-dessus de mes paupières closes 

Ni de grands dahlias, ni d’orgueilleuses roses, 

Ni de rigides lis : ces fleurs montent trop haut. 

Ce ne sont pas des fleurs si fières qu’il me faut, 

Car je ne sentirais de ces raides voisines 

Que le tâtonnement funèbre des racines.

 

Au lieu des dahlias, des roses et des lis, 

Transplante près de moi le gai volubilis 

Qui, familier, grimpant le long du vert treillage 

Pour denteler l’azur où ton âme voyage, 

Forme de ta beauté le cadre habituel 

Et fait de ta fenêtre un jardin dans le ciel.

 

Voilà le compagnon que je veux à ma cendre : 

Flexible, il saura bien jusque vers moi descendre. 

Quand tu l’auras baisé, chérie, en me nommant, 

Par quelque étroite fente il viendra doucement, 

Messager de ton cœur, dans ma suprême couche, 

Fleurir de ton espoir le néant de ma bouche.

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