Il est probable que la mort soit moins pénible que la vie.
Cartes de Condoléances
Tout disparaît en un clin d'oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
Si le cœur s'éteint, le souvenir reste.
Tu étais la lumière de ma vie.
Parler de ses peines, c'est déjà se consoler (A. Camus)
Toute ma vie je me souviendrai de sa gentillesse. Je suis de tout coeur avec vous.
Lorsque nous perdons quelqu'un que nous aimons, il semble que le temps s'arrête.
Avec vous, sincères condoléances.
Après tout ce temps ... Tu me manques encore chaque jour.
Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l'appelle renaissance.
Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis (Victor Hugo)
Notre existence se trouve entre deux éternités.
Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour.
Condoléances: Articles
À l'époque où les réseaux sociaux sont devenus de véritables moyens de communication comme les autres, le deuil se vit
Une alternative à la thérapieLes mots ne sont pas la seule façon d’exprimer nos sentiments : on peut aussi danser
Attendre la vie et connaitre la mort à la place est beaucoup plus répandu que l’on ne le pense. Le
De plus en plus souvent, la crémation est l’option choisie pour les funérailles. Aussi offrir des fleurs pour une crémation
Condoléances: Messages
La mort ne peut jamais prendre un homme bon dans notre cœur. Il a été une source d'inspiration pour nous,
Il faut avoir vécu cette terrible épreuve pour comprendre l'intensité de votre douleur. En vous assurant de notre affection, nous
Je suis profondément peiné et les mots ne sont d'aucun secours pour exprimer la douleur que je ressens en ce
A vous tous et très particulièrement à toi XXXX, nous voulons vous dire notre affection en ces moments de séparation.
Condoléances: Citations
La mort est une loi, non pas un châtiment.
On doit des égards aux vivants ; on ne doit aux morts que la vérité.
Regretter, c'est la face cachée de l'inaction.
Notre pensée aujourd’hui, est sous la dominance ontologique de la mort.
Condoléances: Poèmes
Fable IX, Livre I. La mort, reine du monde, assembla certain jour, Dans les enfers, toute sa cour. Elle voulait
Quand je mourrai, que l'on me mette, Avant de clouer mon cercueil, Un peu de rouge à la pommette, Un
Dans le clair-obscur de la pièce close, Où brûle une cire au reflet tremblant, Rigide, et grandi par la mort, repose Le corps
Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, Des divans profonds comme des tombeaux, Et d'étranges fleurs sur des étagères, Ecloses