Les cheveux gris sont les fleurs de la mort.
Cartes de Condoléances

Je suis de tout coeur avec vous, mes sincères condoléances.

Si le cœur s'éteint, le souvenir reste.

Le malheur de l'avoir perdu ne doit pas nous faire oublier le bonheur de l'avoir connu.

Lorsque nous perdons quelqu'un que nous aimons, il semble que le temps s'arrête.

Parler de ses peines, c'est déjà se consoler (A. Camus)

La vie est éphémère, mais le souvenir d'un être cher reste.

Mon coeur souffre avec toi. Je suis là si tu as besoin de moi.

La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.

L’amour est la seule chose qu’on emporte dans l’éternité (Antonine Maillet)

On n'oublie jamais une personne, on s'habitue seulement à son absence.

On est seul ici, et ta lumière me manque.

Avec vous, sincères condoléances.
Condoléances: Articles

Aujourd’hui, il n’y a aucune difficulté d’envoyer des fleurs de deuil pour rendre hommage à un défunt. Avec les services

La mort est, dans notre société, un tabou, et en parler fait naitre toutes sortes de sentiments : la panique,

Il y a de multiples façons de faire son deuil et de se remémorer la personne que l’on a perdu.

Le printemps est la saison de la nouvelle vie et vous ne pouvez pas vous empêcher de remarquer toutes les
Condoléances: Messages

A vous tous et très particulièrement à toi XXXX, nous voulons vous dire notre affection en ces moments de séparation.

Il faut avoir vécu cette terrible épreuve pour comprendre l'intensité de votre douleur. En vous assurant de notre affection, nous

Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancé. Je voudrais vous apporter un peu

Nous sommes tout près de vous dans votre grand malheur. Affection et tendresse.
Condoléances: Citations

Dire qu'il nous faudra mourir, qu'il nous est impossible de n'être point nés !

Le programme génétique prescrit la mort de l'individu, dès la fécondation de l'ovule.

De l'enfer il ne sort - Que l'éternelle soif de l'impossible mort.

Les hommes ne parleraient pas tant du ciel, si ce port fantôme les attendait vraiment au terme de leur odyssée.
Condoléances: Poèmes

Je songeais, sous l'obscur de la nuit endormie, Qu'un sépulcre entr'ouvert s'apparaissait à moi. La Mort gisait dedans toute pâle

Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au

C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil,

J'ai bien assez vécu, puisque dans mes douleurs Je marche, sans trouver de bras qui me secourent, Puisque je ris