mort

Cartes de Condoléances

 Seule la mort est inutile. 
 On entre, on crie, Et c'est la vie ; On bâille, on sort, Et c'est la mort. 
 On ne meurt pas. La mort, c'est encore de la vie couvée. 
 Nous faisons notre vie de la mort d’autrui. 
 Le mort n'a point d'ami, le malade n'en a qu'à demi. 
 Quand on a tout perdu, quand on n'a plus d'espoir, La vie est un opprobre et la mort un devoir. 
 Vivre, c'est momentanémment échapper à la mort. 
 La mort est un bon pasteur, car elle ne perd jamais rien de son troupeau. 
Certaines personnes, à l’approche de leur mort, confient à leurs proches qu’elles ne souhaitent pas de funérailles. Pour les personnes
Retourner chez soi, auprès de ses proches, pour mourir là où on a vécu, tel est le souhait exprimé par
 Les hommes chantent parce qu’ils ont goûté à la mort. 
 Il faut savoir risquer la peur comme on risque la mort, le vrai courage est dans ce risque. 

Condoléances: Articles

 Le paradis terrestre est partout quand nous le voulons.  
 La vie est agréable. La mort est paisible. C’est la transition qui est désagréable. 
 La mort ? Sans importance. La vie ? Sans importance. Ce qu'il faut c'est vaincre. 
 Couple terrible : la vie tremble, la mort rit. 

Condoléances: Messages

 La mort n'est finalement que l'apogée de notre déclin. 
 L'intelligence du monde n'est pas dans la naissance, elle est dans la mort. On sait ce qui naît ; on
 Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas, l'espoir. 
 De la naissance à la mort, on branche nos vies sur pilotage automatique et il faut un courage surhumain pour

Condoléances: Citations

La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
 C'est parfois la peur de la mort qui pousse les hommes à la mort. 
 On cloue les cercueils comme si on avait peur que les morts s'envolent. 
 La mort est le plus égoïste de nos actes. 

Condoléances: Poèmes

 Sur un cerisier mort, on ne trouve pas de fleurs. 
 La mort de l’eau est plus songeuse que la mort de la terre : la peine de l’eau est infinie. 
Mourir, Mourir... Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long.
 Là où il n’y a rien, même la mort ne peut rien prendre.