Gilbert Bécaud

Cartes de Condoléances

 J'entends rire les morts quand on parle de dieux. 
 Personne ne résiste bien longtemps à la cruelle lucidité du regard des morts. 
 Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas, l'espoir. 
On est seul ici, et ta lumière me manque.
 En ce monde rien n’est certain, à part la mort et les impôts. 
 Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement. 
 La vie est la voie de la mort, la mort est la voie de la vie. 
 Contre la mort nul ne se peut défendre. 
La mort et, également, le sommeil, ou petite mort, sont une nécessité mortelle et libèrent temporairement l'homme non éclairé de
 Version humaine de l'ubiquité : faculté de n'être nulle part au même instant.  
 La mort, je l’ai vu de près... Eh bien, elle ne gagne pas à être connue ! Elle a une
 La mort, c'est comme l'amour, on ne sait jamais quand elle va vous perdre. 

Condoléances: Articles

La mort ne veut rien dire pour celui qui est fort spirituellement.
 Vivre est une maladie... La mort est le remède. 
 Il ne faut pas tant se méfier des autres que se défier de soi-même.  
 Pour certains, la mort c'est la seule façon qu'ils ont de se prouver qu'ils étaient vivants. 

Condoléances: Messages

 La mort est aussi soudaine dans ses caprices qu'une courtisane l'est dans ses dédains, mais plus fidèle, elle n'a jamais
 Vivre, c'est naître sans cesse. La mort n'est qu'une ultime naissance, le linceul notre dernier lange. 
 Nous passons par des états de corps étranges, comme si la mort nous faisait des signes de tête amicaux. 
 La mort, qui a toujours tort, a raison de chacun. 

Condoléances: Citations

 Quiconque n’est pas mort jeune mérite de mourir. 
 Pour l'écrivain, la littérature est cette parole qui dit jusqu'à la mort : je ne commencerai pas à vivre avant
 Pour l’homme qui pense, la mort n’est pas une fin mais un commencement. 
 Vivre, c'est momentanémment échapper à la mort. 

Condoléances: Poèmes

 Pourquoi s'en faire avec la mort quand la vie nous donne déjà bien assez de soucis comme ça ? 
 Le temps passé n'est plus, l'autre encore n'est pas, Et le présent languit entre vie et trépas ; Bref, la
 La vie du loup est la mort du mouton. 
 C'est la présence de la mort qui donne un sens à la vie.