Le volubilis, de René-François Sully Prudhomme

Toi qui m’entends sans peur te parler de la mort, 

Parce que ton espoir te promet qu’elle endort 

Et que le court sommeil commencé dans son ombre 

S’achève au clair pays des étoiles sans nombre, 

Reçois mon dernier vœu pour le jour où j’irai 

Tenter seul, avant toi, si ton espoir dit vrai.

 

Ne cultive au-dessus de mes paupières closes 

Ni de grands dahlias, ni d’orgueilleuses roses, 

Ni de rigides lis : ces fleurs montent trop haut. 

Ce ne sont pas des fleurs si fières qu’il me faut, 

Car je ne sentirais de ces raides voisines 

Que le tâtonnement funèbre des racines.

 

Au lieu des dahlias, des roses et des lis, 

Transplante près de moi le gai volubilis 

Qui, familier, grimpant le long du vert treillage 

Pour denteler l’azur où ton âme voyage, 

Forme de ta beauté le cadre habituel 

Et fait de ta fenêtre un jardin dans le ciel.

 

Voilà le compagnon que je veux à ma cendre : 

Flexible, il saura bien jusque vers moi descendre. 

Quand tu l’auras baisé, chérie, en me nommant, 

Par quelque étroite fente il viendra doucement, 

Messager de ton cœur, dans ma suprême couche, 

Fleurir de ton espoir le néant de ma bouche.

Cartes de Condoléances

Nous comprenons la mort uniquement après qu’elle ait mis les mains sur une personne que nous aimons
Nous comprenons la mort uniquement après qu'elle ait mis les mains sur une personne que nous aimons. (Anne L. de
Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c'est la présence des absents, dans la mémoire des
Le malheur de l'avoir perdu ne doit pas nous faire oublier le bonheur de l'avoir connu.
Lorsque nous perdons quelqu'un que nous aimons, il semble que le temps s'arrête.
Tout disparaît en un clin d’oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
Tout disparaît en un clin d'oeil, pardonnez souvent, aimez de tout votre coeur.
Parfois, je n'arrive pas à croire que tu as disparu...
On est seul ici, et ta lumière me manque.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil.
Avec vous, sincères condoléances.
La vie a une fin comme une lumière de bougie s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs sont à jamais
Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour
Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour.
Le temps passe, les souvenirs s'estompent, les sentiments changent, les gens nous quittent, mais le coeur n'oublie jamais.

Condoléances: Articles

Qu’il s’agisse d’un ami défunt, d’un collègue ou d’un proche, il est de coutume d’envoyer des fleurs de deuil le
Les fêtes de fin d’années sont toujours difficiles à vivre pour les personnes endeuillées, car elles les plongent dans un
La perte d’une mère est une immense perte. Trouver les mots de sympathie pour consoler une personne qui a perdu
Aujourd’hui, il n’y a aucune difficulté d’envoyer des fleurs de deuil pour rendre hommage à un défunt. Avec les services

Condoléances: Messages

(Nom), je veux juste que vous sachiez que je suis vraiment désolé d'apprendre la disparition de ( nom, votre père,
Je n'ai pas les mots pour vous soulager de votre douleur. S'il y a quelque chose que je peux faire
Je suis profondément peiné et les mots ne sont d'aucun secours pour exprimer la douleur que je ressens en ce
Je viens d’apprendre la triste nouvelle concernant votre (Maman, Papa, Frère…). Le départ d’un(e) (Mère, Père, Frère…) est une étape

Condoléances: Citations

Ne pleure pas celle que tu as perdue. Au contraire, réjouis-toi de l'avoir connue
 Renversez tout... toujours ! En vous-même ! L'habituel, c'est la mort. 
 Pour savoir ce qu'il y après la mort, il suffit de savoir ce qu'il y a avant la vie. 
 La fidélité à un mort est une damnation pour une vivante. 

Condoléances: Poèmes

Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit: «Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans
Je suis debout au bord de la plage ;Un voilier passe dans la brise du matinet part vers l'océan.Il est
La perte d'un époux ne va point sans soupirs.  On fait beaucoup de bruit, et puis on se console.  Sur
J'ai bien assez vécu, puisque dans mes douleurs Je marche, sans trouver de bras qui me secourent, Puisque je ris