Mourir n’est pas mourir ; mes amis ! C’est changer !
Cartes de Condoléances
Sans les arbres dans lesquels il joue, le vent resterait invisible. (C. Singer)
Avec vous, sincères condoléances.
Le Deuil n'est pas l'absence d'Amour, le Deuil est la preuve que l'Amour est toujours là.
Notre existence se trouve entre deux éternités.
Tu étais la lumière de ma vie.
Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour.
On est seul ici, et ta lumière me manque.
On n'oublie jamais une personne, on s'habitue seulement à son absence.
Je ne peux pas imaginer à quel point ce que vous vivez en ce moment est difficile, je sais juste
Je ne cacherai pas ma souffrance, tout comme je ne cachais pas mon amour.
Une partie de moi disparue à jamais, une partie de toi pour toujours en moi.
Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis (Victor Hugo)
Condoléances: Articles
En marquant le début du processus de deuil et en rassemblant les vivants une dernière fois autour du défunt, le
Attendre la vie et connaitre la mort à la place est beaucoup plus répandu que l’on ne le pense. Le
Loin d’être un acte pessimiste, préparer ses propres funérailles est une façon de contrôler le déroulement de ses obsèques et
La période de deuil est toujours très difficile. C’est la raison pour laquelle les proches du disparu ont besoin d’un
Condoléances: Messages
Sachez que ma famille est un avec vous en cette période terrible. Nos pensées sont avec vous.
S'il était des mots à prononcer pour tenter de vous consoler, nous les dirions du fond du coeur pour adoucir
Mes sincères condoléances à vous et votre famille. C'était une personne vraiment adorable et gentille. Il va nous manquer.
Je ne peux pas imaginer à quel point ce que vous vivez en ce moment est difficile, je sais juste
Condoléances: Citations
Il n’y a pas de mesure objective de la douleur d’un homme.
La mémoire et l'habitude sont les fourriers de la mort.
Il y a trois sortes d'êtres : les vivants, les morts et les marins.
La mort est un roman.
Condoléances: Poèmes
Arrêtez les pendules, coupez le téléphone,Empêchez le chien d’aboyer pour l’os que je lui donne,Faites taire les pianos et sans
J'ai bien assez vécu, puisque dans mes douleurs Je marche, sans trouver de bras qui me secourent, Puisque je ris
C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil,
La spirale sans fin dans le vide s’enfonce ; Tout autour, n’attendant qu’une fausse réponse Pour vous pomper le sang,