La mémoire de la plupart des hommes est un cimetière abandonné, où gisent sans honneurs des morts qu’ils ont cessé de chérir.
Cartes de Condoléances

Beaucoup de bons souvenirs me reviennent alors que je pense à notre cher disparu. Que l'amour de la famille et

La vie est éphémère, mais le souvenir d'un être cher reste.

Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera. Victor Hugo

Parler de ses peines, c'est déjà se consoler (A. Camus)

Si le cœur s'éteint, le souvenir reste.

Ceux que nous avons tant aimés ne peuvent jamais tout à fait disparaître.

Notre existence se trouve entre deux éternités.

Avec vous, sincères condoléances.

Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis (Victor Hugo)

Tu étais la lumière de ma vie.

L'amour ne disparaît jamais... la mort n'est rien. (Saint Augustin)

Si l'instant est douloureux, convoque les souvenirs heureux.
Condoléances: Articles

Lors d’un deuil, il est de coutume de venir déposer des fleurs. Cette tradition permet de rendre hommage au défunt

Le fait de présenter ses condoléances avec des fleurs est une tradition issue de la famille romaine. Du fait de

Les raisons pour lesquelles l’individu pourrait se trouver dans l’impossibilité d’assister à des funérailles sont très nombreuses. Dans ce genre

Les fleurs de deuil sont un réel message de réconfort pour soutenir une famille frappée par le malheur. Voici quelques
Condoléances: Messages

Je prends une vive part à votre chagrin. Affectueusement et tristement.

Nous ne pourrons jamais dire au revoir à un homme qui restera à jamais dans notre coeur.

En partageant votre peine profonde, nous voulons vous aider à l'atténuer.

Nous sommes tout près de vous dans votre grand malheur. Affection et tendresse.
Condoléances: Citations

Coma : la mort comme si vous y étiez.

L'acheminement vers la mort est une fuite inconsciente pour échapper à la douleur et à la pénurie.

A mesure que les soucis de la vie diminuent, ceux de la mort augmentent.

La mort est une loi, non pas un châtiment.
Condoléances: Poèmes

Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Anime la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaye encor

Dans le clair-obscur de la pièce close, Où brûle une cire au reflet tremblant, Rigide, et grandi par la mort, repose Le corps

Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au

Mère, quel doux chant me réveille ? Minuit ! c'est l'heure où l'on sommeille. Qui peut, pour moi, venir si tard Veiller et