Dans la vie, le passé c’est de la vie qui est déjà morte.
Cartes de Condoléances

La vie est éphémère, mais le souvenir d'un être cher reste.

Une partie de moi disparue à jamais, une partie de toi pour toujours en moi.

Lorsque nous perdons quelqu'un que nous aimons, il semble que le temps s'arrête.

Le souvenir, c'est la présence invisible. (V. Hugo)

Je ne peux pas imaginer à quel point ce que vous vivez en ce moment est difficile, je sais juste

Parler de ses peines, c'est déjà se consoler (A. Camus)

Si l'instant est douloureux, convoque les souvenirs heureux.

On n'oublie jamais une personne, on s'habitue seulement à son absence.

Tu étais la lumière de ma vie.

Si le cœur s'éteint, le souvenir reste.

L’amour est la seule chose qu’on emporte dans l’éternité (Antonine Maillet)

Notre existence se trouve entre deux éternités.
Condoléances: Articles

Vivre le suicide d’un proche, c’est entamer un deuil particulier et compliqué. Comment en effet pleurer la mort de quelqu’un

On n’apprend nulle part à faire ses condoléances, et, à la douleur du moment s’ajoute la peur de blesser ou

Lorsque l’on perd un parent, la douleur est double : d’un côté, l’enfant doit faire face à son propre chagrin,

Les fleurs ont une valeur symbolique. Elles peuvent transmettre des émotions et représentent également l’espoir de la renaissance de l’âme
Condoléances: Messages

Il est des douleurs difficiles à consoler mais quelques mots peuvent les apaiser. Quand le chagrin aura pu s'enfuir, il

Recevez mes très sincères condoléances et l'expression de ma plus profonde sympathie.

Je suis atterré par la terrible nouvelle. Je suis de tout cœur avec vous.

Ma chère XXXX, nous avons appris avec émotion et beaucoup de peine le départ de votre cher XXXX et nous
Condoléances: Citations

Tous les jours vont à la mort, le dernier y arrive.

La mort, c’est le regard des vivants.

La mort révèle l'amour, c'est l'inconsolable qui pleure l'irremplacable.

Il n'y a que les morts qui ne reviennent pas.
Condoléances: Poèmes

Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, Des divans profonds comme des tombeaux, Et d'étranges fleurs sur des étagères, Ecloses

C'est la Mort qui console, hélas ! et qui fait vivre ; C'est le but de la vie, et c'est

L'heure de ma mort, depuis dix-huit mois, De tous les côtés sonne à mes oreilles, Depuis dix-huit mois d'ennuis et

Dans une terre grasse et pleine d'escargots Je veux creuser moi-même une fosse profonde, Où je puisse à loisir étaler