Cartes de Condoléances

Cartes de Condoléances

Nous partageons votre douleur. Toutes nos condoléances.
Je suis de tout coeur avec toi en ces moments difficiles.
Lorsque nous perdons quelqu'un que nous aimons, il semble que le temps s'arrête.
Parler de ses peines, c'est déjà se consoler
Parler de ses peines, c'est déjà se consoler (A. Camus)
Il est une tristesse si profonde qu'elle ne peut pas même prendre la forme des larmes. (H. Murakami)
Le souvenir, c'est la présence invisible. (V. Hugo)
Parfois, je n'arrive pas à croire que tu as disparu...
Mon coeur souffre avec toi. Je suis là si tu as besoin de moi.

Condoléances: Articles

Quand un de vos amis passe par l’étape difficile du deuil, vous avez un rôle important à jouer : dans ces
Faire livrer des fleurs lors du deuil est une symbolique qui a un véritable pouvoir apaisant sur les esprits et
Une fausse couche est un décès dans la famille et doit être traitée comme tel. Des commentaires maladroits peuvent blesser
 Après les obsèques, certaines compositions comme les couronnes, les bouquets et les fleurs ont tendance à disparaitre. Le caveau reste

Condoléances: Messages

Comment ne pas être atterré quand un proche que l’on aime s’en va. Vous voilà désormais face à l'absence qu’il
Je ne peux pas imaginer ce que vous devez ressentir en ce moment, mais je veux que vous sachiez que
La vie a une fin comme une lumière de bougie s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs sont à jamais
Permettez-moi de vous dire que je partage votre peine. Je pense à vous. Je suis avec vous chaque jour et

Condoléances: Citations

 N'attendez pas d'être à la mort pour donner ; car un mourant donne à vrai dire le bien d'autrui. 
 Bucoliques. Le feu de bois. Toute cette fête, toute cette vie ! Puis cette agonie, puis cette mort, cette déboulée
 Voulez-vous que je vous dise pourquoi vous n'avez pas peur de la mort ? Chacun de vous pense qu'elle tombera
 La mort apprend à vivre aux gens incorrigibles. 

Condoléances: Poèmes

C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil,
Arrêtez les pendules, coupez le téléphone,Empêchez le chien d’aboyer pour l’os que je lui donne,Faites taire les pianos et sans
De mes pensers confidente chérie, Toi, dont les chants faciles et flatteurs Viennent parfois suspendre les douleurs Dont les Amours ont parsemé ma
Fable IX, Livre I. La mort, reine du monde, assembla certain jour,  Dans les enfers, toute sa cour.  Elle voulait