Apporter un soutien après une fausse couche

Une fausse couche est un décès dans la famille et doit être traitée comme tel. Des commentaires maladroits peuvent blesser profondément les personnes endeuillées.

Juste parce qu’un bébé est mort avant sa naissance ne signifie pas qu’il n’a pas été profondément aimé, chéri , et voulu. Souvent, les parents ont déjà appris le sexe du bébé, choisi un nom, prévu la crèche, acheté des articles pour le bébé.

Que dire ? Il vaut mieux s’en tenir à l’essentiel. Exprimez votre sympathie la même manière que vous le feriez pour tout autre mort : en personne, par téléphone ou dans une note. Dire que vous êtes désolé pour la perte et leur faire savoir que vous espérer que de leur rêve d’enfantement deviendra réalité . Envoyer des fleurs si c’est ce que vous feriez normalement ou offrir d’apporter un repas. Les parents qui ont déjà des enfants pourraient apprécier un peu d’aide pour les garder pendant qu’ils s’occupent des rendez-vous médicaux , des courses ou simplement s’isoler un instant.

À vouloir bien faire, vous pourriez être blessant. Évitez ce genre de propos : 

  • C’est arrivé pour une raison.
  • Il y avait sûrement un problème avec ton bébé.
  • C’est la volonté de Dieu .
  • C’est mieux comme ça.
  • Au moins, vous ne connaissez pas le bébé.
  • Vous pouvez réessayer.
  • Vous pouvez toujours en avoir un autre.
  • Vous en avez déjà deux enfants en bonne santé.

Soyez honnête : « Je suis tellement choqué , je ne sais pas quoi dire » ou « Je sais combien vous avez voulu ce bébé et je suis vraiment désolé. » 

Il faudra bien sûr un certain temps aux parents pour récupérer et passer à autre chose de leur vie. Soyez patient avec eux, et faites bien attention à ce que vous dites.

Image: Creative Commons/klearchos

Cartes de Condoléances

Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis (Victor Hugo)
Il est une tristesse si profonde qu'elle ne peut pas même prendre la forme des larmes. (H. Murakami)
Le malheur de l'avoir perdu ne doit pas nous faire oublier le bonheur de l'avoir connu.
Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour
Le deuil est le prix que nous payons pour l'amour.
La vie a une fin comme une lumière de bougie s'éteint, mais dans le cœur les souvenirs sont à jamais
Parler de ses peines, c'est déjà se consoler
Parler de ses peines, c'est déjà se consoler (A. Camus)
On est seul ici, et ta lumière me manque.
Quand quelqu'un qu'on aime devient un souvenir, le souvenir devient un trésor.
Mon coeur souffre avec toi. Je suis là si tu as besoin de moi.
Lorsque nous perdons quelqu'un que nous aimons, il semble que le temps s'arrête.
Je suis de tout coeur avec toi en ces moments difficiles.
L'amour ne disparaît jamais... la mort n'est rien. (Saint Augustin)

Condoléances: Articles

Quand un de vos amis passe par l’étape difficile du deuil, vous avez un rôle important à jouer : dans ces
Quand retourner au travail lorsque l’on a perdu un proche ? Le code du travail français est très clair ;
Le décès fait partie des évènements de la vie que l’on ne peut prévoir. Il arrive parfois des moments où
La perte d’un enfant fait partie des pires sensations qu’une femme pourrait éprouver. Devoir dire adieu à son enfant après

Condoléances: Messages

Chère XXXX, c’est avec beaucoup de tristesse que je viens d'apprendre le décès de XXXX. Que te dire sinon bon
S'il a quitté cette terre il ne nous quittera jamais vraiment, car il est toujours vivant dans nos cœurs et
Je suis de tout coeur avec vous dans la douloureuse épreuve qui vous frappe. Je vous présente mes sincères condoléances
Prenant part à votre douleur, je vous présente mes sincères condoléances, à vous et à votre famille. En ces moments

Condoléances: Citations

 La mort est affreuse quand on est dénué de tout ce qui peut nous consoler en cet état. 
Et le choix que chacun fait de sa vie et de lui-même était authentique puisqu'il se faisait en présence de
 L'homme n'est assuré de sa vie ni de sa mort, il est fragile autant que feuille de bananier ou écume
 Je suis un mort Encore vivant ! 

Condoléances: Poèmes

Ils disent qu'au ciel on retrouve  Ces chers petits morts tant pleurés.  Ah ! savent-ils bien ce qu'éprouve  Le cœur
Dans le clair-obscur de la pièce close, Où brûle une cire au reflet tremblant, Rigide, et grandi par la mort, repose Le corps
Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,  Des divans profonds comme des tombeaux,  Et d'étranges fleurs sur des étagères,  Ecloses
Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre